Dans ce roman, nous suivons les sœurs Eloïse et Francesca, l'une est trop exigeante pour se marier et l'autre est mariée.
Le coup de cœur continue
★★★★★
Il était son secret. Il était à elle et à personne d'autre. La chronique des Bridgerton 5
Résumé du livre
Depuis que sa meilleure amie, Pénélope Featherington, a convolé en justes noces, Éloïse, la rebelle de la fratrie Bridgerton, s'interroge : les commères n'auraient-elles pas raison de prétendre qu'elle ne trouvera pas de mari ? Oh, elle en a reçu des propositions au fil des ans ! Elle les a toutes refusées, sous prétexte que ses prétendants n'étaient pas... parfaits. Une exigence ridicule, bien sûr.
Inquiète à l'idée qu'il ne soit déjà trop tard, Éloïse reçoit à point nommé une invitation de la part de sir Phillip Crane, un veuf avec qui elle entretient une relation épistolaire. La proposition est d'autant plus audacieuse qu'il envisagerait de se remarier... Sans en souffler mot à quiconque, elle décide de se rendre chez cet homme qu'elle n'a jamais rencontré.
De son côté, sa sœur Francesca file le parfait amour avec son mari, le comte de Kilmartin, dans leur château en Écosse. Elle n'imagine pas qu'un événement inconcevable va bouleverser le cours de sa vie, pour le pire et pour le meilleur.
Ce que j'ai pensé de ce livre
Encore un livre captivant. On continue de découvrir les membres de la famille Bridgerton à travers leur quête de l'amour et aucune histoire n'est redondante. J'ai déjà mis le tome suivant sur ma table de chevet.
Dans le tome 5, on découvre la fougueuse Eloïse. Son esprit libre et rebelle en fait un personnage terriblement intéressant. Elle est très avant-gardiste pour l'époque.
Dans le tome 6, on suit Francesca. Mariée et filant le parfait amour avec son comte, on se demanderait bien ce qu'il lui manque. Mais la passion dévorante de Michael, cet homme au charme ravageur et à l'esprit vif, nous fait tourner les pages sans nous en rendre compte.
Si vous n'avez pas encore commencé cette sage, je ne peux que vous conseiller de le faire sans tarder.
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